Résumé : Et si Candy et Terry s’étaient retrouvés ce soir-là à Chicago devant les portes de l’hôpital où il attendait depuis un bon moment sans succès ?
Salut à tous ! C’est ma quatrième fic sur « Candy Candy » qui est une réponse du défi « Et si ». J’espère qu’elle vous plaira comme les trois premières. D’ailleurs, j’en profite pour vous dire que j’aurai beaucoup moins de temps qu’avant à me consacrer à écrire mes fics et même en lire car je viens de trouver quelqu’un qui me fait sortir de mon univers monotone et triste. Sachez d’avance que je n’abandonnerai pas mes fics mais j’ai envie en ce moment de consacrer mon temps à cette personne. Elle passe avant tout. De toute façon, je pourrai m’en occuper quand elle ne sera pas là ce qui veut dire du Lundi au Jeudi de la semaine. Bonne lecture !
Chapitre 1 : Retrouvailles
Candy se rendit à l’hôtel Lex, le premier qu’elle trouva sur son chemin. Elle demanda à la réception…
Candy : Excusez-moi de vous déranger si tard… Est ce que les acteurs de Stratford sont ici ?
Réceptionniste : Oui ils sont ici mais…
Candy : Alors Terry… Monsieur Terrence est aussi…
Voix : Vous lui voulez quelque chose ?
Candy se retourna et se retrouva face à l’actrice Susanna Marlowe.
Candy : Je m’appelle Candy et j’aimerai voir Monsieur Terrence…
Susanna pâlit : * Candy… C’est donc elle… Elle ne l’aura pas !* C’est impossible ! Il est très fatigué et se repose déjà surtout que beaucoup de ses admiratrices l’avaient bousculé. Vous voulez bien le laisser se reposer ? S’il vous plait. Je lui dirai qu’une admiratrice est passée… *Terry est à moi ! Tu n’es qu’une sale voleuse !*
Candy : *Pour qui me prend-t-elle ? Une admiratrice ? Non mais ! Pour qu’elle m’empêche de le voir ainsi, elle doit être amoureuse de lui… Elle l’est !* Oui c’est ça…
Candy quitta l’hôtel et se dirigea vers l’hôpital en hélant une calèche qui la déposa devant les grilles. Elle en descendit puis elle se dirigea vers la porte quand soudain une silhouette se matérialisa devant elle. La jeune femme eut un sursaut de surprise puis reconnut tout de suite Terry.
Candy : Terry…
Terry : Candy…
Ils se jetèrent dans les bras l’un de l’autre heureux de se retrouver. Ils restèrent enlacés pendant un moment puis ils se détachèrent.
Terry : On a encore failli de se rater…
Candy : Je sais… Au fait, je suis passée à ton hôtel et j’ai vu Susanna. Elle m’a traitée d’admiratrice !
Terry : Non mais de quoi se mêle-t-elle ?
Candy : En tout cas, elle est amoureuse de toi vu comment elle te couvre…
Terry : C’est ridicule ! Elle n’est qu’une collègue. Je ne vois que toi.
Candy : L’amour rend aveugle. Au moins je t’ai prévenu !
Terry : Cessons de parler de Susanna. Profitons de nos retrouvailles.
Candy : D’accord.
Comme il faisait un peu frisquet, Terry emmena Candy à son hôtel dans sa chambre. Le jeune homme lui raconta ce qu’il s’était passé à son départ de Saint Paul et Candy en fit autant.
Terry : Mon dieu Candy ! C’était bien ta voix que j’avais entendu ! Si j’avais su que tu me suivrais, je t’aurais attendu !
Candy : L’important est le moment présent.
Terry avait tant attendu ce moment où il embrasserait Candy sans se gifler mutuellement. Cette dernière aussi rêvait cet instant. Doucement, lentement, Terry s’approcha de son visage et posa délicatement ses lèvres sur les siennes. Candy fut surprise mais répondit à ce baiser avec fougue.
Ni l’un ni l’autre brisait cet échange pour se gifler parce qu’ils s’aimaient. Candy avait compris ses sentiments envers Terry le jour où ce dernier avait quitté l’Angleterre pour l’Amérique sans elle.
Terry : Oh Candy…
Candy : Terry…
Se serrant l’un contre l’autre, ils s’embrassaient avec passion. Ils commençaient à se caresser mutuellement alors qu’ils prenaient conscience qu’ils se consumaient d’amour. Brisant le baiser, Terry regarda Candy dans ses yeux et y lut un consentement mutuel. Alors ils se déshabillèrent, ils se retrouvèrent tous les deux nus. Ils se découvrirent mutuellement leurs corps.
Terry s’allongea sur Candy, enfouissant son sexe chaud et dur entre ses jambes. Tout en l’enlaçant, cramponnée à elle, fragile et vulnérable maintenant, malgré la puissance de ses muscles, il se glissa en elle avec toute l’impétuosité de son désir, prenant sa virginité pour toujours. Terry gémit en rejetant la tête en arrière en sentant sa chair brûlante se resserrer autour de lui…
Terry : Oh oui, tu me rends fou Candy.
Il resta ainsi, absorbé par les sensations voluptueuses de ce corps, ne voulant pas bouger, voulant juste rester en elle. Envahie par une onde voluptueuse, Candy cambra ses reins et, se donnant à lui totalement, elle laissa échapper des petits cris de plaisir.
Terry supplia : Non. Laisse-moi être ainsi en toi une minute. Je veux juste te sentir, sentir ton corps m’étreindre.
Terry sentit le corps de Candy bouger. Il s’enivra de son odeur, odeur aphrodisiaque, décuplant sa faim. Enhardi par ce chant amoureux, Terry déploya une ardeur étourdissante, hissant rapidement Candy sur les cimes d’un plaisir extrême. Il lui prit les hanches et libéra toute sa fougue avec un cri rauque.
Un peu plus tard, ils recommencèrent. Prenant alors ses lèvres, Terry commença alors à aller et venir, les yeux fermés, lui faisant l’amour tel un fou, tel un loup. Possédé, il était possédé. Il sut que plus jamais il ne serait en paix loin de ce corps, hors de ce corps.
Candy était devenue un besoin.
Une drogue.
Son destin.
Mais alors qu’il se cambrait pour plonger plus loin en elle, il comprit que plus rien ne serait comme avant maintenant qu’il avait retrouvé Candy.
Une éternité plus tard, alors que l’extase le submergeait, il laissa échapper une plainte et, comme libéré, transcendé, il explosa en elle pour la seconde fois. N’ayant pas l’intention de se retirer d’elle, il continua donc de se déverser sa semence en ce corps qui répondait, s’accordait à son plaisir.
Serrant les dents, il agrippa ses hanches et s’immobilisa en elle, voulant lui donner tout ce qu’il avait à donner, tout ce qu’il n’avait jamais même pensé à donner à une autre femme. Et comprenant finalement à cet instant que Candy Neige André faisait plus qu’apaiser ses appétits sexuels. Aux aurores, Candy dut se lever.
Terry : Tu dois retourner au travail ?
Candy : Oui.
Terry : Attends Candy.
Il sortit une boite de la poche de son pantalon et la tendit à son âme sœur. C’était la bague de fiançailles des Granchester donnée de génération en génération à la future femme.
Terry : Candy, veux-tu m’épouser ?
Candy émue : Oui Terry.
Le jeune acteur lui passa la bague au doigt puis il l’embrassa. Peu après, Candy quitta la chambre de Terry avec lui puis de l’hôtel en direction de l’hôpital avant le réveil de la troupe.
Cette nuit, Susanna avait attendu Terry sans succès. Elle s’était endormie et elle n’avait pas vu ni entendu celui qu’elle convoitait rentrer dans sa chambre avec Candy ni en sortir ce matin puisqu’elle était profondément dans les songes. Elle était heureuse de s’être débarrassée de sa rivale sans avoir à se battre. Mais quelle serait sa réaction quand elle saurait que Terry avait passé la nuit avec sa rivale ?