Bonjour à tous !
Pour commencer je m’excuse pour cette longue absence qui m’a entraînée à un long retard de MAJs des nouveaux chapitres. J’en profite pour vous révéler que je suis une fille malgré mon pseudo typiquement masculin.
De plus, je vous ai mis au courant que j’avais un petit ami mais ce dernier avait mis fin à notre relation au début du mois de mars. Cependant nous sommes restés très bons amis donc je ne lui en veux pas.
J’ai alors essayé de me remettre sur mes fics en cours sans grand succès. J’ai alors compris que je me suis retrouvée en panne d’inspiration complète. J’ai alors laissé de côté le temps que ça revient.
J’ai eu aussi des problèmes avec une copine qui n’en était pas une à cause d’une sale histoire fausse. C’est une femme de 30 ans qui se comporte comme une gamine de 15 ans et qui aime faire des ragots méchants, prête à tout pour briser soit une amitié soit un couple tout à fait récent. Ça m’a empêché de réfléchir pour la suite de mes fics en cours.
Pour terminer j’ai eu aussi des soucis avec quelques garçons qui voulaient sortir avec moi sans prendre le temps de me connaître juste pour le s*** (Censuré pour le bien des moins de 18 ans). Bref, ça fait beaucoup. J’ai heureusement un ami compréhensif et attentionné envers moi qui est devenu mon petit ami depuis fin mai 2007 mais il n’est pas au courant pour ça car j’ai droit d’avoir un petit jardin secret.
Pour terminer mon mot, je ferai mes fics selon mon inspiration qui n’a plus la même vigueur qu’avant (Rappelez vous que je vous mettais un chapitre voire deux ou trois chaque jour). J’espère que je suis pardonnée auprès de mes fidèles lecteurs de ce long retard. Je vous souhaite une bonne lecture et à très bientôt.
Genzô Wakabayashi
Chapitre 2 : En route pour New York
Le visage de Madame Marlowe avait perdu sa superbe lorsque Terry l’avait rabrouée sans ménagement. Elle savait qu’elle avait tort de donner cet ordre car elle n’était pas sa mère mais elle en avait assez de voir sa fille malheureuse en amour. Cependant elle se souvenait d’avoir assisté aux adieux déchirants entre Terry et Candy à distance et elle pouvait sentir toute cette force d’amour que dégageaient les deux âmes sœurs qui étaient obligées de se séparer à cause du caprice de Susanna.
Mme Marlowe : *Pourquoi ai-je obligé Terrence de quitter sa petite amie pour le bonheur de ma fille ? J’aurai pu très bien demander juste de payer les frais d’hôpitaux… Mais Susanna aime Terrence qui ne la regarde même pas… Je me demande si ce n’est pas une obsession qu’a ma fille envers Terrence…*
Susanna se plaignit : Maman… Il est vraiment méchant avec moi…
Mme Marlowe : Je le sais mais il a quand même raison. Je ne suis pas sa mère.
Susanna : Il n’a qu’à m’épouser et tu seras sa belle-mère.
Mme Marlowe : J’ai fait ce que j’ai pu. *Je sais parfaitement qu’il n’aimera jamais Susanna comme il a aimé cette fille. Je me rends compte que Terrence ne fait que par devoir.*
Susanna : Il faut que tu fasses encore plus de pression !
Mme Marlowe : Arrête Susanna ! Quand j’ai dit que j’ai fait ce que j’ai pu, c’est que je ne peux pas faire plus ce que j’ai fait jusqu’à maintenant ! Terrence sait résister quand il veut. Tu as bien compris.
Susanna maudissait sa rivale Candy car cette dernière était toujours présente entre Terry et elle. Elle était malheureuse mais elle refusait de l’admettre car elle était trop obsédée par lui. Susanna se donnait tant de mal pour rendre heureux le jeune homme suite à la promesse qu’elle avait faite à Candy mais sans succès.
***
A Chicago, Archie, Annie et Patty étaient chez les Brigton afin de leur demander la permission de partir à New York. Les parents d’Annie acceptèrent.
Mme Brigton : Annie, j’ai lu le journale et j’ai appris que Candice allait se fiancer avec Daniel Legrand.
Annie : C’est pour cette raison que je dois aller à New York, maman. Je connais Candy. Elle déteste Daniel Legrand. Je dois faire venir ici Terry Granchester !
Mr Brigton : C’est donc un piège ?
Archie : Oui Monsieur. Daniel et sa sœur utilisent la mort de mon frère pour obliger Candy à épouser Daniel.
Mme Brigton : Mon dieu ! C’est abominable !
Mr Brigton : C’est un comble !
Ce fut ainsi que les parents Brigton aidèrent les trois jeunes à prendre au plus vite trois billets de train en direction de New York.
***
Candy, de son côté, ignorait du piège que les Legrand lui avaient tendu car elle ne lisait plus les journaux depuis sa rupture avec Terry de peur qu’elle apprenne que ce dernier ait épousé Susanna Marlowe. Elle était malheureuse loin de celui qu’elle aimait plus que sa vie mais elle montrait sa souffrance à personne. La jeune femme travaillait d’arrache pied pour ne plus penser à sa peine.
***
Archie, Annie et Patty étaient maintenant dans le train en direction de New York. Ils croisèrent les doigts qu’ils n’arrivaient pas trop tard pour arracher Terry des filets de Susanna Marlowe et pour sauver Candy d’un futur mariage qui la rendrait vraiment malheureuse.
Patty : Espérons que Terry comprenne que c’est un piège.
Archie : Il va être furieux.
Annie : C’est normal, Archie mais si nous lui disons bien ce que nous avons entendu, je suis certaine qu’il réagira au quart tour.
Archie : Hum.
Patty : Il laissera tomber le théâtre s’il aime toujours Candy et il viendra la sauver.
Annie : Candy et Daniel ? Beurk ! C’est l’horreur !
Patty : Tu as raison, Annie. Et puis il faudra se venger des Legrand vu qu’ils ont osé de se servir de la mort d’Alistair…
La jeune femme éclata en sanglots car elle aimait toujours celui qui était porté disparu voire mort car aucun ne connaissait la vérité vu qu’on n’avait jamais retrouvé le corps du jeune Cornwell. Archie serra les poings de rage et de tristesse. Annie compatissait et comprenait le vide qu’avait laissé Alistair.
Archie : Ne t’inquiète pas, Patty, ils paieront cher le mal qu’ils sont en train de nous faire. Ils ne laissent pas reposer en paix mon frère mais ils en pâtiront. Dès qu’on pourra, on avertira l’Oncle William de la sournoiserie des Legrand.
Annie : Pour le moment, concentrons sur le problème de Candy ainsi sur celui de Terry.
Patty : Oui et régler le compte à Susanna Marlowe du mal qu’elle a fait à notre amie.
Motivés de nouveau, les trois amis discutaient de tout et de rien durant le reste du voyage.
***
Pendant ce temps, Terry marchait dans Broadway en ruminant ses pensées. Il ne savait pas quelle décision prendre vu qu’il était partagé entre le devoir dixit Susanna et l’amour dixit Candy.
Il ne comprenait pas l’article du journal ou plutôt il ne reconnaissait plus sa Candy. Il aurait aimé que quelqu’un lui dise que c’était un canular mais à qui s’adresser ?
Surtout pas à Susanna Marlowe !
Elle serait trop heureuse et aurait gagné la partie.
Terry : *Maudite sois-tu, Susanna Marlowe ! C’est de ta faute si j’ai perdu la femme de ma vie ! Je te hais! Je te haïrai toute ma vie! Je ne t’avais rien demandé et je ne voulais pas de toi dans mon univers ! Tu ne seras jamais dans mon cœur !*