Bonjour à tous !
Pour commencer je m’excuse pour cette longue absence qui m’a entraînée à un long retard de MAJs des nouveaux chapitres. J’en profite pour vous révéler que je suis une fille malgré mon pseudo typiquement masculin.
De plus, je vous ai mis au courant que j’avais un petit ami mais ce dernier avait mis fin à notre relation au début du mois de mars. Cependant nous sommes restés très bons amis donc je ne lui en veux pas.
J’ai alors essayé de me remettre sur mes fics en cours sans grand succès. J’ai alors compris que je me suis retrouvée en panne d’inspiration complète. J’ai alors laissé de côté le temps que ça revient.
J’ai eu aussi des problèmes avec une copine qui n’en était pas une à cause d’une sale histoire fausse. C’est une femme de 30 ans qui se comporte comme une gamine de 15 ans et qui aime faire des ragots méchants, prête à tout pour briser soit une amitié soit un couple tout à fait récent. Ça m’a empêché de réfléchir pour la suite de mes fics en cours.
Pour terminer j’ai eu aussi des soucis avec quelques garçons qui voulaient sortir avec moi sans prendre le temps de me connaître juste pour le s*** (Censuré pour le bien des moins de 18 ans). Bref, ça fait beaucoup. J’ai heureusement un ami compréhensif et attentionné envers moi qui est devenu mon petit ami depuis fin mai 2007 mais il n’est pas au courant pour ça car j’ai droit d’avoir un petit jardin secret.
Pour terminer mon mot, je ferai mes fics selon mon inspiration qui n’a plus la même vigueur qu’avant (Rappelez vous que je vous mettais un chapitre voire deux ou trois chaque jour). J’espère que je suis pardonnée auprès de mes fidèles lecteurs de ce long retard. Je vous souhaite une bonne lecture et à très bientôt.
Genzô Wakabayashi
Chapitre 2 : A l’opposé…
Bien décidé de régler ce problème, Richard décida de ramener son fils au collège lui même et d’aller voir la mère supérieure pour qu’elle ne renvoie pas Candy. Julianne l’apprit donc et entra dans une colère noire.
Julianne : TU AVAIS PROMIS, RICHARD, QUE TU NE T’OCCUPERAIS PAS DU FILS DE CETTE PUTE ELEANOR BAKER !
Richard : NE TRAITE PAS DE CETTE FAÇON LA MERE DE TERRENCE ! JE TE L’INTERDIS !
Julianne : LAISSE-LE REGLER LE PROBLEME SEUL !
Richard : JAMAIS ! SOIT TU ACCEPTES ET TU RESTES SOIT TU REFUSES ET TU QUITTES LE CHATEAU SANS LES ENFANTS !!!!
Le duc venait mis un ultimatum à sa femme qui ne put plus répliquer car elle ne voulait pas perdre toute la fortune de son mari qui devrait revenir à ses enfants. Elle se résigna et laissa son mari qu’elle aimait réparer l’injustice dans lequel Terrence était tombé avec Candy.
Julianne : *Tu vas regretter, Terrence d’avoir détruit ma famille !*
Mais ce que la duchesse ne savait pas : Sa famille comme elle le disait n’en était pas une car Richard ne l’avait jamais aimée depuis toutes ces années et qu’il restait avec elle par devoir. Elle ignorait surtout que son mari ne tenait pas que son fils fasse les mêmes erreurs que lui.
Richard voulait que son fils Terrence soit plus chanceux que lui et qu’il soit en quelque sorte sa rédemption. Cela explique pourquoi le duc voulait aider son fils dans le moindre pétrin.
***
Sur le chemin en direction du collège, Richard demanda à son fils de lui raconter sur Candy et sur Eliza. Terry n’aimait pas parler de celle qui l’avait piégé mais si cela pouvait aider son père à mieux comprendre il le fit de mauvaise grâce.
Terry : Cette Eliza m’a raconté à sa manière qui était Candy.
Richard : Et tu lui as dit quelque chose ?
Terry : Oui, je lui ai dit qu’elle devrait se regarder dans une glace et qu’elle ressemblait typiquement à quelqu’un qui dit du mal des autres dans son dos.
Ces paroles rappelèrent au duc ce que son ami, qui avait été renvoyé du collège St Paul à cause d’Elise André, lui avait relaté au temps de sa jeunesse. Richard se souvenait parfaitement que cette Elise avait tout manigancé comme eliza venait de faire à son fils et à cette Candy. Voyant que ça ennuyait trop Terry de parler de cette peste d’Eliza, Richard le laissa raconter tout ce qu’il savait sur Candy Neige André. Le duc se rendit compte alors que cette jeune fille aux tâches de rousseur était un ange qui avait sauvé son fils de la solitude et qui l’avait mis sur le droit du chemin. Il fut heureux pour lui qu’il irait bien remercier cette inconnue.
***
Pendant ce temps, Candy s’était réveillée dans sa cellule de correction.
Candy : Il fait déjà jour. Je pensais qu’il n’y avais pas de fenêtre mais il doit y avoir une fissure. *La cellule de correction après celle de méditation… Je pourrai m’en vanter même si je me fais renvoyer. Ce n’est pas tous les jours qu’on peut avoir ce genre d’expérience… Renvoyer… Je me demande si l’oncle William me comprendra… Ça ne sera sûrement pas facile… Je ne suis peut être pas faite pour être adoptée.
Soudain le ventre de la jeune fille se mit à crier famine ce qui la surprit et la fit rougir de honte.
Candy : Oh quelles manières ! J’ai peut être été trop habituée à la bonne nourriture… Si je racontais ça à Monsieur Albert, je suis sure qu’il rigolerait ! *Monsieur Albert… Je me demande s’il va bien en Afrique… Ça serait bien si je pouvais lui parler dans ces moments-là… La lettre de Monsieur Albert… Je l’ai lue tellement de fois que je pourrais la réciter par cœur… L’infirmière qui me ressemble doit sûrement travailler beaucoup…* Il faut aussi que je me reprenne ! Attends-moi, Terry ! On fera payer ensemble à Eliza ce qu’elle nous a fait !
Et le ventre de Candy continuait à crier famine…
***
Alors que les élèves sortaient de la messe, Richard arriva en compagnie de Terry. Ils entendirent des ragots mais ils n’étaient pas dupes car il y avait vraiment du faux dans ce que les autres disent puisqu’ils ne faisaient que répéter les paroles de la méchante Eliza. Tout le monde se retourna sur le passage des Granchester et quelques filles remarquèrent que Terry portait un autre vêtement que celui qu’il mettait d’ordinaire.
Une fille : C’est Terry, il porte un costume…
Une autre fille : c’est la première fois que je le vois en costume…
Eliza et Louise virent Terry en compagnie d’un monsieur. La jeune Legrand reconnut immédiatement le Duc de Granchester et ne comprit pas vraiment la raison de sa présence. Cependant elle n’alla pas tarder à comprendre pourquoi le père, qui saisit tout de suite qui était la demoiselle Eliza Legrand dont son fils lui parlait ce matin, et le fils s’arrêtèrent devant elle et qu’ils la regardèrent furieux. Eliza eut alors un sourire sournois que le duc n’apprécia pas du tout car cela lui rappelait bien une André qui était exactement comme elle quand il était adolescent mais il ignorait que cette personne si mesquine qu’il avait connu était restée la même et qu’elle était mariée à un Legrand. Terry fut le premier à réagir et il lui lança un crachat à la figure ce qui réjouit son père. Cela rappelait au duc sa jeunesse d’antan. Eliza fut atterrée par le comportement du jeune homme.
Louise : ELIZA ! Il est incroyable !
Eliza : Monsieur le duc, vous n’allez pas le laisser faire ?
Richard : Je vais me gêner, mademoiselle Legrand qui veut faire renvoyer deux élèves de ce collège grâce à vos manigances. Vous me rappelez quelqu’un qui était exactement comme vous et elle se nomme Elise André.
Eliza : C’est ma mère devenue Legrand lorsqu’elle s’était mariée, Monsieur le duc.
Richard eut un rictus moqueur : Ah la belle affaire ! Je comprends tout maintenant !
Sur ce, le duc laissa la jeune Legrand plantée dans le couloir et suivit son fils pour aller au bureau de la mère supérieure.